La CACL & IDEX
Veulent sacrifier les habitants de la Carapa et Soula pour implanter un incinérateur de déchets
Pourquoi nous refusons l'incinérateur à la Carapa ?
La Guyane dispose de 83 856 km² de territoire...
Pourtant, la CACL a "miraculeusement" trouvé les 122 hectares les plus inappropriés
+9%
de cancers du sein chez les femmes
1 tonne
de déchets incinérés génère 5 000 m³ de fumées et de CO2
84 %
du poids des ordures ménagères brulées se retrouve sous forme de gaz carbonique (CO2)
+5 000 Habitants
sacrifiés par la CACL et une entreprise privée (IDEX) qui engrange des centaines de millions d'euros
250 à 300 kg
de mâchefers produits par tonne incinérée, qu'on ne sais pas traiter ni dépolluer !
Ce que la population doit savoir
"La CACL joue avec le feu... et cache l'extincteur aux populations !"
La vérité qu'on vous cache :
Alors que la CACL présente ce projet comme "propre et maîtrisé", elle omet volontairement de préciser :
Macouria sous menace toxique : 18 000 habitants sacrifiés sur l'autel du profit ?
Les chiffres officiels (2025) sont formels : Macouria compte 18 800 âmes. Autant de vies directement menacées par le projet d'incinérateur que la CACL et IDEX tentent d'imposer coûte que coûte.
Une contamination inéluctable
Les données scientifiques sont sans appel :
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Particules fines (PM₂,₅, PM₁₀) et métaux lourds (plomb, cadmium, mercure) : dispersion sur plusieurs kilomètres
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Dioxines et furanes : retombées mortelles dans un rayon de 5 à 10 km (voire plus selon les vents)
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Zone critique : 2 à 5 km autour de l'UVE où se concentrent 80% des retombées toxiques (ANSES, 2025)
Une sentence sanitaire déjà connue
Dans ce périmètre maudit :
☠ +30% de risques de cancers (Institut de Veille Sanitaire)
☠ Explosion des maladies respiratoires et cardiovasculaires
☠ Aliments contaminés (lait, œufs, cultures) jusqu'à 5 km (étude GEOD'AIR)
Pire : l'OMS exige une surveillance sanitaire renforcée sur 10 km... alors que la CACL et IDEX n'ont prévu absolument rien pour les habitants de La Carapa et Soula, premières victimes désignées.
Le comble du cynisme : IDEX, juge et bourreau
La CACL ose confier à IDEX :
✅ La construction de l'incinérateur
✅ Son exploitation
✅ Et... son "auto-contrôle" !
Traduction :
"Chers habitants, dormez tranquilles... Votre empoisonneur sera aussi votre médecin légiste !"
Un crime social en préparation
Comment qualifier autrement :
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L'absence totale de plan de surveillance sanitaire indépendant
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Le mépris des alertes scientifiques
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La complicité active des institutions
Macouria mérite mieux qu'un destin de zone sacrifiée. Exigeons :
🔴 L'annulation immédiate de ce projet criminel
🔴 Un moratoire sur toute implantation industrielle en zone habitée
🔴 La saisine de la justice pour mise en danger délibérée
*(Sources : ANSES 2025, INVS, GEOD'AIR, OMS - données actualisées)*
Ils jouent avec nos vies. Ne les laissons pas gagner.
👉 Partagez massivement - chaque minute compte !
UVE de Macouria : La mascarale de la concertation publique et l’escroquerie foncière
La CACL se moque-t-elle des Guyanais ?
Alors que la Communauté d’Agglomération du Centre Littoral (CACL) affiche hypocritement sur son site une "concertation publique" du 19 mai au 30 juin 2025 pour l’implantation d’une Unité de Valorisation Énergétique (UVE) à Macouria, la réalité est bien plus scandaleuse :
1. La concertation ? Une farce orchestrée
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IDEX, l’entreprise privée choisie par la CACL, a déjà acheté le terrain de 122 hectares !
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Comment parler de "débat public" quand tout est déjà verrouillé ?
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La Commission Nationale du Débat Public (CNDP) a nommé des garants (Daniel Cucheval et Richard Le Pape) pour assurer la "sincérité" de la concertation… Mais à quoi bon, puisque la décision est déjà prise ?
2. L’aveu en public : Un mépris démocratique
Lors de la réunion publique du 11 juin 2025 à la mairie de Montsinéry :
✅ La CACL a reconnu avoir déjà tranché en faveur d’IDEX.
✅ IDEX a confirmé l’acquisition du terrain.
Preuve irréfutable que cette "concertation" n’est qu’une vaste opération de communication pour faire avaliser un choix déjà acté !
3. Un choix guidé par l’argent, pas par l’intérêt général
Tout indique que :
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Le site n’a pas été sélectionné pour des raisons techniques ou environnementales.
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Il s’agit d’une opération immobilière lucrative, pilotée par des propriétaires fonciers en connivence avec des décideurs.
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Ce ne serait pas la première fois en Guyane qu’un projet est imposé de cette manière.
4. Une escroquerie en bande organisée ?
Les faits sont accablants :
🔴 Fausse consultation publique.
🔴 Décision prise en amont sans transparence.
🔴 Terrain acquis avant même la fin des débats.
Une véritable entourloupe institutionnelle, digne des pires combines politico-financières.
Nous avons alerté plusieurs médias pour enquêter sur cette affaire, qui présente tous les signes d’une manipulation organisée.
Conclusion : La démocratie bafouée, la Guyane méprisé
La CACL et IDEX jouent aux marionnettistes, croyant pouvoir imposer leur projet en faisant croire à un semblant de participation citoyenne. Les Guyanais ne sont pas dupes.
Exigeons :
🚨 L’annulation immédiate de ce simulacre de concertation.
🚨 Une enquête indépendante sur les conditions d’acquisition du terrain.
🚨 La publication de tous les échanges entre la CACL et IDEX.
Assez de mensonges. Assez de magouilles. La Guyane mérite mieux que cette mascarale.
👉 Partagez massivement pour dénoncer cette escroquerie !
*(Source : Site de la CACL, Compte-rendu de la réunion du 08/06/2025)*
Route de la Carapa – RN1 : Un axe saturé, des risques ignorés !
La RN1 entre Carapa et Cayenne est aujourd’hui au bord de l’asphyxie : embouteillages monstres, trafic infernal, et des milliers d’automobilistes pris au piège quotidiennement.
Un trafic déjà explosif
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26 000 à 40 000 véhicules franchissent le pont du Larivot chaque jour.
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17 000 véhicules s’engouffrent quotidiennement entre Macouria et Balata.
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Le maire de Macouria a dénoncé l’absence de ce tronçon critique dans le Plan de Mobilité, qualifiant cette omission de "non-sens" et de "violation flagrante des Accords de Guyane".
Et pourtant… la CACL veut ajouter 250 camions de plus !
Alors que la RN1 craque déjà sous le poids du trafic, la Communauté d’Agglomération du Centre Littoral (CACL) prévoit d’y injecter plus de 250 camions supplémentaires pour desservir l’UVE de la Carapa.
Une route dangereuse, une évacuation impossible
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La Carapa est un cul-de-sac : En cas d’incendie ou d’accident grave, les riverains n’auront aucune issue de secours.
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Une voie étroite et mortifère : Pas d’accotements sécurisés, pas de bande d’arrêt d’urgence, une chaussée trop serrée… un cocktail explosif pour les usagers.
Comment peut-on envisager d’alourdir encore cette route, déjà au bord du chaos, sans aucune solution de mobilité ni mesures de sécurité ?
La CACL et l’État doivent répondre en urgence :
🔴 Où est le plan de sécurisation de la RN1 ?
🔴 Pourquoi surcharger un axe déjà saturé ?
🔴 Quelles solutions pour les riverains en cas d’urgence ?
La situation est intenable. Il est temps d’agir avant la catastrophe et de dire NON à l'UVE à la Carapa
IDEX, juge et partie : Un scandale sanitaire et démocratique en Guyane
La construction de l’Unité de Valorisation Énergétique (UVE) de la Carapa en Guyane, portée par IDEX, s’apparente à une mascarade environnementale et sanitaire. Le groupe, à la fois maître d’œuvre, évaluateur et contrôleur du projet, incarne une conflit d'intérêt flagrant, tandis que la Communauté d’Agglomération du Centre Littoral (CACL) se retrouve démunie, sans moyens techniques ni indépendance pour vérifier les impacts réels de cette installation.
1. IDEX, seul aux commandes d’un projet sans contre-pouvoir
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Étude d’impact, nuisances sonores, implantation : Tout a été réalisé par IDEX lui-même, sans garantie d’objectivité.
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Auto-contrôle des émissions : La société qui construit et exploite l’UVE sera aussi chargée de mesurer ses propres rejets de dioxines, métaux lourds et particules fines. Une aberration dans toute démarche de transparence.
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Absence d’expertise indépendante : La CACL, qui a commandé le projet, n’a pas les moyens techniques ou financiers pour auditer IDEX.
2. Une opacité dangereuse pour la santé publique
Les incinérateurs émettent des polluants cancérigènes (dioxines, furanes, mercure) dont les effets se mesurent sur des décennies. Or :
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Aucun organisme neutre (comme l’ANSES ou l’INERIS en métropole) ne semble impliqué dans la surveillance.
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Les populations riveraines n’ont aucune garantie que les normes seront respectées.
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Pas de seuil de sécurité clair pour l’implantation : En métropole, des études recommandent au moins 1 à 2 km des habitations. Qu’en est-il en Guyane ?
3. La CACL, complice par impuissance ou par déni ?
La collectivité, en sous-traitant l’ensemble des études à IDEX, a renoncé à son devoir de vigilance. Pire :
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Pas de comité citoyen indépendant pour superviser les mesures.
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Aucun recours à des laboratoires tiers pour contre-vérifier les données d’IDEX.
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Manque de transparence sur les engagements réels en cas de dépassement des seuils toxiques.
Conclusion : Un mépris environnemental et démocratique
Ce projet illustre une privatisation du contrôle sanitaire, où l’industriel s’auto-évalue sans aucun garde-fou.
Les Guyanais ont le droit de savoir :
✅ Qui vérifiera vraiment les émissions de l’UVE ?
✅ Pourquoi aucune expertise indépendante n’a été mandatée ?
✅ Quelles sanctions en cas de dépassement des normes ?
IDEX ne peut pas être à la fois l’accusé, le juge et le bourreau de la santé des Guyanais. La CACL doit exiger un audit externe immédiat et un dispositif de surveillance citoyenne, avant que cette usine ne devienne un scandale sanitaire irréversible.
L'UVE de la Carapa : Un projet illégitime en zone naturelle protégée ?
La Communauté d’Agglomération du Centre Littoral (CACL) s’apprête à accompagner IDEX dans l’implantation d’un incinérateur sur un terrain classé en zone N (naturelle et protégée) – un choix qui soulève de graves questions environnementales et juridiques.
1. Une localisation en contradiction avec les protections existantes
Le site de la Carapa est :
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Classé en zone N (non constructible à vocation naturelle ou agricole) dans le PLU (Plan Local d’Urbanisme).
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Inclus dans des ZNIEFF (Zones Naturelles d’Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique), abritant une biodiversité fragile.
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Traversé par des corridors écologiques, essentiels à la faune sauvage.
Pourtant, la CACL et IDEX ignorent ces protections et avancent vers un projet incompatible avec les réglementations en vigueur.
2. Un PLU inadapté, un flou juridique inacceptable
Pour rendre ce projet possible, il faudrait :
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Réviser en urgence le PLU, ce qui nécessiterait une démarche longue et contradictoire.
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Justifier une "raison impérative d’intérêt public" – ce qui semble difficile, alors que des alternatives existent (réduction des déchets, méthanisation, etc.).
Pourquoi la CACL et IDEX contournent t'ils les règles plutôt que de chercher un site conforme ?
3. Un précédent dangereux pour l’environnement guyanais
Accepter cette installation malgré les protections en place, c’est :
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Ouvrir la porte à d’autres projets industriels en zone naturelle.
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Fragiliser les écosystèmes déjà menacés par l’urbanisation.
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Mettre en péril la crédibilité des protections environnementales.
Conclusion : La CACL et IDEX jouent-elles avec la loi ?
Ce projet pose un véritable cas d’école de greenwashing institutionnel :
✅ Une zone protégée sacrifiée pour un incinérateur controversé.
✅ Un PLU détourné sans consultation sérieuse.
✅ Un risque juridique pour la collectivité en cas de recours.
La Guyane mérite mieux qu’un projet bâclé, imposé au mépris des protections environnementales. Exigeons :
🔴 L’abandon de ce site inadapté.
🔴 Une étude indépendante sur les alternatives.
🔴 Le respect strict du PLU et des zones protégées.
Vous avez des questions ? Soutenez et rejoignez l'association qui se bat contre ce projet fumeux !
Soutenir le mouvement
La Guyane, est une terre d'exception, et mérite une gestion des déchets d'exception ! Refusons l'incinérateur pollueur qui empoisonnera 10.000 Km² de biodiversité et habités. Guyanais, mobilisons-nous pour léguer un territoire sain à nos enfants !
L'avenir que nous propose la CACL et IDEX


